Chasse aux phoques: fourmillement au sein des projets de l’ACPIQ
La perte de vitesse de la pandémie de COVID-19 et l’engouement pour le loup-marin remettent de l’avant des projets de l’Association des chasseurs de phoques Intra-Québec.
Son directeur, Gil Thériault, révèle travailler sur la création de forfaits touristiques de chasse récréative, un projet dans les cartons depuis une dizaine d’années.
Il explique qu’il s’agirait de mettre sur pied un service d’accompagnement pour les visiteurs dans une formule adaptative.
Il indique viser pour le moment une clientèle québécoise, tout en jetant un œil du côté d’une offre internationale, mais souligne avoir besoin de trouver des partenaires dans le milieu afin de développer l’initiative.
D’autre part, M. Thériault nomme la possibilité de la commercialisation des crânes, des dents et des griffes de phoque avec une entreprise de la ville de Bégin, au Lac-St-Jean, malgré certains défis techniques.
Il mentionne également que l’idée de transformer les abats de loup-marin en appâts pour les pêcheurs, pour laquelle une étude menée par Merinov avait reçu du financement il y a quelques années, continue de faire son chemin.
Pour réécouter l’entrevue avec Gil Thériault: