Diane Lebouthillier dresse son bilan d’un an au ministère des Pêches

Un an après être passée du Revenu national à Pêches et Océans, la ministre Diane Lebouthillier jette un regard positif sur un mandat parsemé de dossiers épineux.

Parmi les faits saillants des 12 derniers mois, la députée fédérale de la Gaspésie et des Îles nomme les réouvertures des pêcheries commerciales à la morue du côté de Terre-Neuve et au sébaste dans le golfe.

Elle souligne aussi les investissements de 463,3 millions de dollars sur trois ans annoncés dans le budget fédéral pour l’entretien des ports pour petits bateaux de partout au pays.

Malgré avoir essuyé plusieurs salves de critiques en lien avec la gestion des pêches, notamment sur la répartition des quotas de poisson rouge et l’absence d’aide directe aux crevettiers, la politicienne soutient avoir l’appui des travailleurs de la mer.

Mme Lebouthillier martèle que la pérennité des ressources halieutiques est au cœur de ses priorités.

Ses paroles sont limpides: dans les prochaines années, le réchauffement climatique bouleversera l’industrie, qui devra faire face à de grands changements.

Le phoque et le bar rayé sont des exemples d’opportunités dont il faut se saisir, indique-t-elle.

Appelée à commenter les récentes actualités à Ottawa, dont la fin de l’entente entre son gouvernement et le Nouveau parti démocratique, Mme Lebouthillier réitère sa confiance en Justin Trudeau et qu’elle se présentera de nouveau dans le comté aux prochaines élections.

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