L’entente sectorielle pour l’agroalimentaire est renouvelée jusqu’en 2026
Québec prolonge l’Entente sectorielle pour le développement agricole et agroalimentaire de l’archipel jusqu’en 2026.
L’enveloppe totalisant plus de 807 000 dollars est administrée par Le Bon goût frais des Îles et est répartie en deux volets.
Une somme de 286 000 dollars va directement à l’organisme pour du soutien à la mission tandis que la part du lion sert à financer des projets d’entreprises.
La directrice du Bon goût frais, Caroline Jomphe, indique en souriant que la portion destinée aux initiatives du secteur agroalimentaire a presque été triplée vis-à-vis la précédente mouture.
Les demandes peuvent aller de l’achat d’équipements à l’optimisation des terres.
Caroline Jomphe détaille les proportions de financement accordées aux projets individuels et collectifs.
L’acquisition de terres agricoles à des fins de préservation n’est toujours pas permise au sein des normes ministérielles, mais Mme Jomphe précise avoir souvent plaidé pour que ce type d’initiative soit incluse.
Plusieurs ministères québécois contribuent à l’enveloppe: Agriculture, Pêcheries et Alimentation; Affaires municipales et Habitation; et Économie, Innovation et Énergie.
La Fédération de l’Union des producteurs agricoles de la Gaspésie et des Îles ainsi que la Communauté maritime sont aussi du lot.
Pour réécouter l’entrevue diffusée à l’émission Les preuves des faits: