Horizon 2025 : l’archipel à la croisée des chemins
Près d’une centaine d’acteurs socio-économiques et de citoyens se sont réunis mercredi pour la tenue du 8ème Forum des partenaires du projet de territoire Horizon 2025.
La directrice du développement du milieu, Josianne Pelosse, a énuméré les différentes actions réalisées dans la dernière année en fonction des cinq pôles déterminés, soit Société et culture, Transport et communications, Économie, Gouvernance et gestion et aménagement du territoire.
Elle en nomme quelques-unes.
Elle précise qu’aucune nouvelle action ne s’ajoute à la liste cette année puisqu’une mise à jour du plan sera faite en 2023.
Du côté des ateliers, on testait une nouvelle formule élaborée par le Living Lab de Rivière-du-Loup, axée sur la concertation et l’identification de pistes de solutions.
Les participants étaient invités à inscrire sur des feuillets Post-its ce qu’ils considèrent comme les bons et moins bons coups des initiatives réalisées en plus des enjeux primordiaux pour la qualité de vie ainsi que pour la gestion et l’aménagement du territoire.
Sans surprise, l’accès à l’habitation, la protection des terres agricoles, la conciliation des usages, la pénurie de main-d’œuvre et l’adaptation aux changements climatiques ont été cités à de nombreuses reprises.
Le maire Jonathan Lapierre dresse un bilan satisfaisant des rencontres et souligne le dynamisme des participants et leur compréhension des sujets.
Il indique que le thème « À la croisée des chemins » évoque l’ampleur des décisions à venir pour le futur de l’archipel et le besoin de privilégier le bien collectif au lieu des intérêts individuels.
Pour sa part, le directeur des projets du développement du territoire de la municipalité, Serge Bourgeois, a expliqué en long et en large où en sont rendus les projets de révision du Schéma d’aménagement et de parc régional éclaté.
Il a également présenté les résultats du sondage effectué cet été auprès de plus de mille résidents et visiteurs sur les usages en terres publiques, révélant que 81 pourcents des répondants sont d’accord pour un meilleur encadrement en ce sens.