La Municipalité des Îles attend toutefois les autorisations des différents paliers de gouvernements pour débuter le chantier.
Jasmine Solomon (source : CFIM)
Selon cheffe de section en action climatique, Jasmine Solomon, les discussions se déroulent rondement.
La résolution adoptée lors de la séance régulière du conseil municipal mardi dernier fixe la fin des travaux au 31 janvier 2025.
En plus des autorisations environnementales, Mme Solomon précise qu’en raison des nombreux projets aux Îles, le port de Cap-aux-Meules pourrait être passablement occupé au cours des prochaines semaines.
Elle estime toutefois que le délai pour la réalisation est réaliste.
L’entreprise retenue est présentement autorisée à débuter les travaux de transport et d’entreposage des matériaux.
Source: ministère des Transports et de la Mobilité durable, 2024
Source: ministère de la Sécurité publique, 2024
Source: ministère de la Sécurité publique, 2024
Un inventaire réalisé en 2023-2024 révélait une soixantaine de grottes dans la zone d’études, située entre le 339 chemin du Gros-Cap et l’Échouerie.
Le mois d’octobre aux Iles a été légèrement plus chaud et plus sec que ce qui est normalement attendu à cette période de l’année.
Selon les données transmises par Environnement et changements climatiques Canada, la moyenne des températures s’est située à 10°C, c’est-à-dire 1°C de plus que la normale saisonnière.
Le météorologue Simon Legault explique que la transition du phénomène El Niño vers La Niña se fait sentir et permet d’anticiper un hiver un peu plus frais que les années précédentes.
L’archipel a par ailleurs reçu environ 80 mm de pluie, majoritairement dans la première moitié du mois, ce qui représente 75% des précipitations attendues pour octobre.
Simon Legault qualifie ces écarts de normaux et dresse un portrait similaire ailleurs au Québec.
Le météorologue prévoit que le temps frais du week-end laissera place à des températures plus chaudes au cours des prochains jours.
Il prévient toutefois que les premiers flocons sont attendus d’ici la mi-novembre.
La Communauté maritime a attribué deux contrats en lien avec la gestion des matières résiduelles lors d’une séance extraordinaire tenue mardi soir.
C’est la soumission de l’entrepreneur Nordmec Construction au coût d’un peu plus de 340 000 dollars qui a été retenue pour la deuxième phase des travaux d’installation d’un système de dégrilleur au Centre de gestion des matières résiduelles.
La somme provient du Programme de la taxe sur l’essence et de la contribution du Québec 2019-2024, dont l’entente vient bientôt à échéance.
C’est pourquoi la résolution a été adoptée lors d’une séance extraordinaire, résume le maire Antonin Valiquette.
De plus, un second contrat a été attribué à Navigation Madeleine pour le transport et la disposition de sacs de déchets entreposés au Centre de gestion des matières résiduelles.
Au coût d’environ 319 000 dollars, la soumission retenue était la seule à être conforme.
Le financement du contrat provient de l’enveloppe de 4,8 millions de dollars débloquée par Québec pour le traitement des matières accumulées au CGMR, qui est maintenant épuisée.
L’entente aura permis de se débarrasser du tiers des déchets enfouis et de la totalité du bois accumulé sur le site.
Mme Cormier-Boudreau indique que les syndiqués n’ont pas eu droit à la rétroactivité salariale de 6% promise par Résidence Plaisance des Îles pour la période d’avril 2023 à mars 2024.
Elle affirme que l’employeur a changé son fusil d’épaule et refusé de la leur accorder en disant manquer de fonds.
Après un processus de conventionnement qui a échoué et un transfert qui semble sur la face, l’heure est donc au débrayage pour les employées.
Monica Cormier-Boudreau rappelle que le CHSLD privé est assujetti à la Loi assurant le maintien des services essentiels dans le secteur de la santé et des services sociaux.
Les épisodes de grève seront donc réfléchis en conséquence.
Au moment de publier cette nouvelle, le syndicat était en attente d’une réponse de l’employeur pour fixer d’autres dates de négociation.
Les membres affiliés à la CSN souhaitent signer l’entente avant Noël.
Pour écouter l’entrevue avec Monica Cormier-Boudreau:
Depuis mercredi, les demandes anticipées d’aide médicale à mourir sont permises pour une certaine catégorie de patients.
Il est désormais possible pour les Québécois atteints d’une maladie conduisant vers la démence de donner d’avance leur consentement à la procédure.
Le Dr Georges L’Espérance est neurochirurgien et président de l’AQDMD (capture d’écran CFIM)
Le neurochirurgien et président de l’Association québécoise pour le droit de mourir dans la dignité, Georges L’Espérance, s’en réjouit.
Les demandes anticipées s’appliquent uniquement aux patients qui perdront la capacité de décider par eux-mêmes en raison de diagnostics comme l’alzheimer ou la démence à corps de Lewy.
Ces personnes pourront déterminer à l’avance à partir de quel degré de détérioration de leur état elles souhaitent recevoir l’aide médicale à mourir.
Un proche pourra ensuite signaler à l’équipe soignante le moment où ce seuil lui semble atteint, détaille le Dr L’Espérance.
Deux professionnels devront constater que les critères établis préalablement par le patient sont remplis avant de dispenser l’aide médicale à mourir.
Auparavant, ces soins de fin de vie étaient réservés aux gens atteints d’une maladie grave et incurable capables de donner leur consentement au moment de les recevoir.
Sur l’archipel, entre 2019 et 2023, le CISSS a reçu 25 requêtes d’aide médicale à mourir.
Pour écouter l’entrevue diffusée lors de l’émission Cap info:
S’il reconnait la validité de la démarche du regroupement de capitaines, le directeur de l’AQIP, Jean-Paul Gagné, s’inquiète des effets d’un joueur supplémentaire sur les marges bénéficiaires des usines.
Le directeur de l’Association québécoise de l’industrie de la pêche, Jean-Paul Gagné (photo: CFIM)
M. Gagné est aussi d’avis qu’un septième acquéreur vient déstabiliser l’équilibre encadré par le plan conjoint de mise en marché.
Il remet en question le modèle de commercialisation actuel, rappelant que l’archipel madelinot se trouve dans une situation plutôt unique vis-à-vis le reste de la province et des Maritimes.
M. Gagné juge que c’est plutôt l’inondation des marchés par du homard de Terre-Neuve, plus compétitif au niveau des prix, qui a entrainé une diminution de la part versée aux pêcheurs pour la ressource.
Pour écouter l’entrevue diffusée lors de l’émission Cap info:
Rien ne laissait croire au maire Antonin Valiquette que les discussions entre le ministère de la Santé et des Services sociaux et Résidence Plaisance des Îles allaient en ce sens, malgré un processus de changement de statut qui s’étirait.
Le maire des Îles et président de la Communauté maritime, Antonin Valiquette (photo: CFIM)
À ses yeux, l’annonce est «préoccupante».
Au palier provincial, le député des Îles à l’Assemblée nationale, Joël Arseneau, se montre critique vis-à-vis Québec.
Il dénonce la décision, qu’il qualifie «d’inquiétante» et d’un bris d’engagement «inadmissible», «lourd de conséquences».
L’administration de Résidence Plaisance affirme que le gouvernement a failli à ses responsabilités en refusant d’assumer les surcoûts liés aux opérations du CHSLD privé et en revenant sur sa promesse de conventionner l’établissement.
Le député des Îles à l’Assemblée nationale, Joël Arseneau (photo: CFIM)
Le député Arseneau accuse la Coalition avenir Québec de couper les vivres au prestataire de service et de laisser planer l’incertitude.
Les élus sont en contact avec les intervenants au dossier afin de suivre l’évolution de la situation.
Les travailleuses du CPE Chez Ma Tante ont voté à l’unanimité en faveur d’une banque de grève de cinq jours à utiliser au moment opportun.
Le syndicat des employées de la garderie, affilié à la CSN, s’est prononcé lors d’une assemblée le 23 octobre.
Deux autres CPE gaspésiens ont adopté le même mandat la semaine dernière.
Pour la branche régionale de la Fédération de la santé et des services sociaux, l’appui massif des membres confirment leur détermination à obtenir des conditions d’emploi améliorées.
Le Conseil du trésor, le ministère de la Famille et les associations syndicales négocient depuis plusieurs mois le renouvellement des conventions collectives, échues en mars 2023.
Les congés, le salaire et la charge de travail font partie des éléments de litige
Alors que le Québec est aux prises avec une pénurie d’éducatrices en services de garde, la fédération reproche au gouvernement d’accélérer l’exode des employées de la région en alourdissant leur fardeau.
Le communiqué ne précise pas à quel moment les moyens de pression seraient exercés.
Selon les informations d’autres médias, les journées de débrayage pourraient avoir lieu dès la fin du mois de novembre.
Un peu plus d’une trentaine de citoyens ont assisté à la consultation publique en lien avec le projet d’immeuble de 60 logements du CISSS des Îles.
Celui-ci doit toujours obtenir l’aval du conseil municipal en raison de son caractère dérogatoire, alors que la règlementation actuelle autorise un maximum de 12 logements et de trois étages.
Tableau : CFIM
Plusieurs citoyens ont soulevé la difficulté de se positionner à une étape aussi précoce, alors qu’aucun visuel n’a été fourni par le CISSS et que le projet viendrait considérablement changer le visage de Cap-aux-Meules.
L’emplacement, la pression sur les infrastructures et la circulation automobile dans le secteur ont aussi suscité des questions.
Cela rejoint les inquiétudes du conseil, explique le maire Antonin Valiquette.
Étapes à venir avant une possible mise en chantier
Étape 1: Adoption du projet de résolution (complétée)
Étape 2: Consultation publique (complétée)
Étape 3: Adoption de la résolution
Étape 4: Avis public pour une demande d’étude par la Commission municipale du Québec (période de 15 jours)
Étape 5: Entrée en vigueur de la résolution
Étape 6: Demande de permis de construction
Antonin Valiquette résume les prochaines étapes.
Si elle décide d’autoriser les dérogations, la Municipalité pourrait aussi, par voie de règlement, définir un certain nombre de critères à respecter sous la forme d’un plan d’intégration architectural.
Une décision est attendue lors des séances municipales de novembre.
Le nombre de baleines noires de l’Atlantique Nord a augmenté en 2023, mais le portrait est assombri par les décès des derniers mois.
Les nouvelles données publiées par des scientifiques canadiens et américains révèlent que la population est estimée à 372 individus, soit 16 de plus que l’année précédente.
L’apparente croissance démographique est une bonne nouvelle pour ces mammifères considérés en voie de disparition.
Le bilan positif de 2023 est toutefois entaché par les événements de mortalité répertoriés cette année.
Jusqu’à présent, les chercheurs ont recensé cinq décès de baleines noires, majoritairement causés par des collisions avec des navires ou des enchevêtrements avec des cordages.
Les scientifiques présument aussi que quatre baleineaux sont morts depuis le début de l’année.
L’Office des pêcheurs et pêcheuses de homards des Îles-de-la-Madeleine accueille favorablement l’arrivée d’un nouveau joueur dans la mise en marché du homard.
Selon son président, Rolland Turbide, un septième acquéreur viendra dynamiser l’industrie, particulièrement dans la mesure ou deux des six permis d’acquisition ou de transformation sont détenus par le même groupe d’investisseurs.
Nadine Cyr et Rolland Turbide de l’Office des pêcheurs et pêcheuses de homards des Îles-de-la-Madeleine (photo: CFIM)
Il voit aussi d’un bon œil la mise en place d’une coopérative, ce qui devrait favoriser les intérêts des pêcheurs.
De son côté, le président de la Coopérative des pêcheurs des Îles, Olivier Renaud, considère que le modèle coopératif constitue un levier pour permettre à la flottille de faire face aux aléas de l’industrie.
Le président de la coopérative, Olivier Renaud (photo: CFIM)
Il souligne que la trentaine de membres sont restés mobilisés tout au long des démarches administratives en attente de signaux positifs et salue le courage politique du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation qui a changé son fusil d’épaule.
Selon lui, il s’agit d’un grand jour pour les pêcheurs madelinots.
À environ six mois de la prochaine saison, une course contre la montre s’amorce pour structurer la nouvelle entreprise et déployer son plan d’affaires.
Selon M. Renaud, une promesse d’achat a déjà été conclue pour l’acquisition d’un bâtiment.
Mardi, Québec a mis le CHSLD Îles-de-la-Madeleine inc. sous administration provisoire.
Le CISSS des Îles a été désigné pour effectuer la gestion clinique et administrative des 65 places privées non conventionnées pour une durée d’au plus 180 jours.
Cette période peut être prolongée au besoin.
Si tous les intervenants assurent que rien ne changera par rapport aux soins et services offerts en CHSLD, plusieurs questions demeurent, notamment par rapport à l’avenir du volet résidence privée pour ainés.
Dans le communiqué de la ministre responsable des aînés, Sonia Bélanger, on lit que la décision «résulte des enjeux financiers auxquels fait face le CHSLD».
La P.-D.G du CISSS des Îles depuis 2021, Sophie Doucet (courtoisie CISSS des Îles)
L’établissement étant déficitaire malgré une avance de 1,6 million de dollars en 2023 et d’autres montants consentis par le gouvernement, l’État doit investiguer, explique la P.-D.G. du CISSS des Îles, Sophie Doucet.
De son côté, le président du conseil d’administration de Résidence Plaisance des Îles, Louis Fournier, blâme les surcoûts liés à la main-d’œuvre indépendante.
Il fait valoir que le ministère de la Santé et des Services sociaux a l’obligation de payer la note supplémentaire en vertu d’ententes préalables.
Le président du C.A., Louis Fournier, et la directrice de RPDI, Chantal Hubert, se sont adressés à plus de 80 résidents mardi après-midi pour faire le point sur la situation (photo: CFIM)
Le CHSLD cumulerait d’ailleurs une dette de 6,2 millions envers RPDI.
Rappelons que Résidence Plaisance négocie depuis plus d’un an pour le transfert du CHSLD Plaisance vers le CISSS des Îles, «en raison des problèmes de financement» de l’établissement.
Après un processus de conventionnement qui a échoué et maintenant un scénario de nationalisation qui s’évapore devant ses yeux, Louis Fournier reproche à Québec de laisser l’organisme Résidence Plaisance dans le noir quant à ses intentions à court terme.
Le sort de l’immeuble qui abrite le centre d’hébergement et la RPA est aussi en suspens.
Il espère que les prochaines rencontres à l’horaire clarifient la situation.
Pour ce qui est de la résidence privée pour ainés de 143 logements, il répète que tout sera mis en œuvre pour maintenir le quotidien des locataires et qu’aucun ainé ne se retrouvera sans toit.
Pour réécouter le segment diffusé le 29 octobre à l’émission Cap info, avec la réaction du député Joël Arseneau:
Pour réécouter le segument diffusé le 30 octobre à l’émission Cap info, avec les réactions du conseil d’administration de RPDI et du syndicat des employé.e.s du CHSLD Plaisance:
CFIM a obtenu confirmation que Québec met le CHSLD Plaisance sous administration provisoire.
Les 65 places privées non conventionnées passent donc sous la responsabilité du ministère de la Santé et des Services sociaux.
L’administration provisoire est prévue pour un maximum de 180 jours.
Québec a annoncé sa décision à Résidence Plaisance des Îles par voie de lettre mardi matin, en réaction au communiqué envoyé plus tôt par l’organisme.
RPDI craint de devoir mettre fin à ses activités, faute de financement additionnel accordé au volet CHSLD.
Selon le communiqué transmis aux médias, le gouvernement ne respecte pas un engagement pris en ce sens en 2020.
Lors d’une rencontre tenue la semaine dernière, RPDI a appris que le ministère demandait aux créanciers de réaliser les garanties hypothécaires, c’est-à-dire de saisir le bâtiment, qui héberge aussi une résidence privée de 143 unités.
Rappelons que l’organisation négocie avec Québec depuis plus d’un an pour le transfert du CHSLD Plaisance vers le CISSS des Îles, «en raison des problèmes de financement» de l’établissement.
Le centre d’hébergement et de soins de longue durée cumulerait une dette de 6,2 millions de dollars envers RPDI.
Plus de détails à venir.
Pour écouter le segment diffusé lors de l’émission Cap info:
Le revenu d’emploi médian aux Iles-de-la-Madeleine a augmenté de 42 pourcents entre 2017 et 2022 selon les données du Panorama des régions de l’Institut de la statistique du Québec.
La communauté maritime est le territoire ayant le 2e plus haut revenu d’emploi médian dans la région alors que celui-ci se situe à 45 406 dollars.
Malgré un taux de chômage qui demeure généralement plus élevé que la moyenne québécoise, l’écart se rétrécit, note l’analyste principal en statistiques régionales, Stéphane Ladouceur.
Sur 25 ans, le taux d’emploi dans la région a progressé de 22,6 %, tandis que le taux de chômage a reculé de 14,4 %.
Toujours selon les données de l’ISQ, l’archipel madelinot figure parmi les premiers de classe pour ce qui est de l’écart entre les revenus d’emploi des hommes et des femmes, au 4e rang dans l’ensemble du Québec.
Cette situation s’explique par la prépondérance du secteur des services dans l’économie régionale.
En proportion, les femmes de 25 à 64 ans sont aussi plus nombreuses à occuper un emploi avec un taux de 72,1 pourcents contre 68 pourcents des hommes du même âge.
Selon le maire Antonin Valiquette, ce résultat demeure satisfaisant considérant le caractère volontaire de la contribution et l’absence de campagne de promotion.
Il ajoute que la somme amassée témoigne selon lui de la volonté de plusieurs visiteurs de comprendre les enjeux locaux et de soutenir le développement de l’archipel et la préservation de son environnement.
S’il prend bonne note des réactions suscitées de part et d’autre, il réitère la pertinence du Fonds de gestion durable du territoire et rappelle que le conseil prévoit consulter la population cet hiver.
Les détails concernant le processus de consultation seront connus ultérieurement, indique l’administration municipale via communiqué.
La période de mise en candidature est déjà ouverte, selon l’avis transmis par la présidente d’élection et directrice générale, Carole Lemieux.
Les intéressés ont jusqu’au 8 novembre pour se manifester.
Il suffirait d’une seule élection par acclamation pour que le conseil retrouve le nombre minimal de conseillers-conseillères requis pour fonctionner.
Si tel était le cas à la fin de la mise en candidature, l’administration de Grosse-Île repasserait entre les mains des élus.
Advenant que plusieurs personnes convoitent un même poste, le jour de vote par anticipation est fixé au 1er décembre tandis que le scrutin aurait lieu le 8 décembre.
Quatre projets portés par la communauté du Campus des Îles se partagent un peu plus de 7500 dollars en bourses de la Fondation du Cégep de la Gaspésie et des Îles.
Le groupe d’étudiants qui participe au voyage de coopération internationale 2025 au Pérou se voit octroyer 1950 dollars.
Les étudiants en Technique de comptabilité et gestion obtiennent 1200 dollars pour la participation au colloque de l’Association des clubs d’entrepreneurs étudiants à Drummondville.
Deux initiatives sportives, le Club de volleyball féminin Les Rafales ainsi que le projet On bouge aux Iles ont reçu 2500 et 2000 dollars respectivement.
Les bourses sont attribuées à la suite d’un appel de projets réalisé au printemps dernier.
Dans l’ensemble des campus de l’établissement d’enseignement collégial, la Fondation du Cégep de la Gaspésie et des Îles a distribué 35 000 dollars pour soutenir 34 projets.
Alors que les captures sont à des niveaux records depuis quelques années, l’arrivée d’un nouveau joueur pourrait stimuler la compétition selon certains, ou déstabiliser l’équilibre des marchés actuels selon d’autres.
Après une année marquée par les défis, Attention FragÎles entend reprendre un rôle de leadership en mobilisation environnementale sur le territoire.
C’est ce qui ressort des mots d’ouverture de l’Assemblée générale annuelle du Conseil régional de l’environnement qui se tenait vendredi soir à Havre-aux-Maisons, à laquelle une trentaine de personnes ont assisté.
La directrice générale par intérim, Mélanie Bourgeois, considère que l’organisme est prêt à passer à une nouvelle phase de développement après avoir dû se concentrer sur son équipe et l’adaptation à son nouveau statut de CRE durant l’année dernière.
En ce sens, l’organisation a présenté une nouvelle planification stratégique 2024-2029 pour guider sa mission et établir des objectifs d’interventions.
Mme Bourgeois est également fière des réalisations de protection de l’environnement, notamment en ce qui concerne le pluvier siffleur.
Elle souligne par ailleurs qu’avec des États financiers sains et un financement récurrent de 200 000 dollars grâce au statut de Conseil régional de l’environnement renouvelé jusqu’à 2029, Attention FragÎles a les moyens de ses ambitions.
La directrice se réjouit également de l’engagement de ses membres dont témoigne selon elle les candidatures plus nombreuses que les postes à pourvoir sur son conseil d’administration lors de l’AGA.
Les trois nouveaux administrateurs sont Michel Boudreau, Madeleine Nadeau et Carole Lemieux.
Pour écouter l’entrevue diffusée lors de l’émission Cap info :
Le documentaire retraçant les 80 ans d’histoire de la CTMA était présenté en avant-première vendredi dernier au Château Madelinot.
Les intervenants du long-métrage de même que les membres de la coopérative étaient invités à un cocktail précédant la projection.
Le film d’une durée d’une heure vingt minutes a été réalisé par Céline Lafrance et Sylvio Bénard, qui avaient marqué l’imaginaire avec le documentaire Des Îles de la Madeleine à L’île Nepawa en 2016.
Sylvio Bénard, Céline Lafrance et Emmanuel Aucoin (photo: CFIM)
C’est en raison de leur grande sensibilité qu’on leur a confié ce mandat autour des activités du 75e anniversaire de CTMA en 2019, explique le directeur de la coopérative, Emmanuel Aucoin.
Cinq années de démarches et une quarantaine d’entrevues plus tard, la production met en valeur certains moments charnières de l’histoire de CTMA ainsi que son imbrication avec les aléas du développement économique et social de l’archipel.
Le documentaire présente aussi des personnages visionnaires, dont certains sont décédés depuis, qui se sont lancé dans la périlleuse aventure coopérative au milieu des années 50, alors que le transport de marchandises et de personnes était assuré par le secteur privé.
Les deux coréalisateurs parlent d’un récit marin et humain.
Le film sera présenté au grand public les 9 et 10 novembre prochains.
La CTMA prévoit aussi le projeter à bord du Madeleine II pendant la prochaine saison estivale.
Pour écouter l’entrevue diffusée lors de l’émission Cap info:
La nouvelle directrice générale de l’Association des radios communautaires du Québec, Angelica Carrero, est déterminée à mettre en valeur la « place enviable » de ses membres dans le paysage radiophonique.
Nommée à ce poste en septembre, madame Carrero détient une formation en droit et a œuvré dans le milieu de la culture et des arts, notamment à la Société des auteur.e.trice.s de radio, télévision et cinéma.
Elle se dit déterminée à contribuer au développement d’un milieu qu’elle considère en pleine effervescence.
Une démarche de planification stratégique est dans les cartons pour l’année financière en cours.
Malgré les nombreux défis du monde des médias, dont les questions de financement, Angelica Carrero souligne que les plus petits joueurs s’en tirent bien en raison de leur ancrage et de la proximité avec leur public.
Elle ajoute que les stations membres ont une identité propre à chacune, ce qui constitue aussi une force des radios communautaires.
Notons que l’ARCQ organise les Jours de la radio du 7 au 9 novembre prochain au Château Laurier à Québec sous le thème La voix de la nouvelle génération.
Diane Lebouthillier continue d’appuyer le premier ministre, Justin Trudeau, qui fait face à de l’opposition au sein du caucus des députés du Parti libéral du Canada.
Valessa Leblanc, la responsable des relations publiques pour la députée, a transmis la même déclaration.
Au sortir du caucus mercredi peu après 13 heures, la députée gaspésienne a refusé de donner plus amples détails sur la nature des échanges qui ont eu lieu derrière les portes closes.
Diane Lebouthillier, comme plusieurs de ses collègues, s’en est tenue à signifier que le caucus est plus uni que jamais.